Recrutement de la dernière promotion des étudiants à former au Certificat en Journalisme, Communication et Conflits
Les dépôts de dossiers se poursuivent jusqu’au 15 octobre 2024
Le Projet de Formation Sud, Certificat en Journalisme, Communication et Conflits (PFS-CJCC), a entamé sa dernière phase avec l’ouverture des candidatures pour la quatrième et dernière promotion du Certificat en Journalisme, Communication et Conflits pour l’année académique 2024-2025. Depuis le 2 septembre 2024, les dossiers de candidature sont reçus au secrétariat de l’Institut Universitaire de Formation Initiale et Continue (IUFIC) de l’Université Thomas Sankara à Ouagadougou, Burkina Faso.
Cette formation, d’une durée de trois (03) mois, vise à renforcer les compétences des journalistes, des communicants, des humanitaires, des juristes, des forces de défense et de sécurité, ainsi que de toute personne intéressée par l’analyse des crises et conflits armés, de l’extrémisme violent, des crises humanitaires, des crises sanitaires et des catastrophes naturelles. Pour y participer, les candidats doivent satisfaire aux conditions suivantes :
- être titulaire d’au moins le baccalauréat ;
- être journaliste professionnel ;
- être communicants professionnel,
- travailler dans une institution étatique ou une ONG humanitaire ;
- être free-lance ou indépendant ;
- être étudiant en sciences humaines et sociales ;
- manifester un intérêt pour les situation conflictuelles.
En effet, depuis 2021, plus d’une cinquantaine de professionnels aspirant à maîtriser la gestion de l’information et de la communication en période de conflits ont été formés par des experts renommés dans les domaines du journalisme et de la communication, issus de divers pays européens et africains, grâce au PFS-CJC.
Outre la formation certifiante, le PFS-CJCC intègre un volet recherche matérialisé par l’élaboration de deux thèses de doctorat. De plus, il prévoit la constitution d’un groupe de recherche international, spécialisé et pluridisciplinaire, rassemblant des chercheurs, enseignants-chercheurs et experts intéressés par cette thématique grâce que soutien financier de l’Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur (ARES) de la Belgique dont le projet bénéficie pour une durée de cinq ans (2021-2025).